Heriveau Muriel
Selon une étude, le paysage est un mot protéiforme : il recouvre des réalités très différentes. Comment traduire ce foisonnement, cette fragmentation d’espace ? J’aime me hasarder, et découvrir une cartographie autrement. Le végétal est toujours présent. Ou comment m’immerger dans ces scénographies, mêlées d’eau, de végétal ? Au sein du parc naturel de la Brière, de nombreuses questions me sont apparues. Une perception de l’évolution de ces masses, en mutation constante, des rythmes différents. Comment explorer ces différents univers insulaires, et les mondes imaginaires de ces espaces ? Traduire un instant ou une fin de journée, un coucher de soleil ?