Lambert Claire
Après un pèlerinage qui marquera sa vie à jamais, Claire Lambert se lance à corps perdu dans le monde de l’art. Peindre, dessiner et laisser son imaginaire devenir réalité sur le support deviennent alors des besoins, une sorte de second souffle. Cet éveil spirituel lui permet de se lier à ses ancêtres, notamment son arrière-grand-père, Georges Maroniez (1865-1933), un peintre réaliste conventionnel.
Elle apprend seule et à son rythme avec l’aide, parfois, d’un ami sculpteur, l’occasion d’apprendre la technique, les proportions ou encore la route vers une harmonie parfaite. Son besoin de communiquer se transforme rapidement en une occasion de partager la joie, le bonheur ou encore l’émerveillement. Des sensations qui l’animent lorsqu’elle s’apprête à créer.
Les mains plongées dans la matière, elle se laisse guider par ses sensations et son imagination. Il n’y a pas de barrières, aucune limite, simplement un grand sentiment de liberté…